dans le cadre du festival OTNI #2 (objet théâtral non identifié)
En tournée avec le Columbia Circus, Columbia, trapéziste, s’apprête à remonter en scène. Assis dans sa loge, le spectateur se fond dans sa peau : il entend ses pensées, plonge dans la mémoire de son histoire, découvre imperceptiblement la piste de cirque derrière le miroir, devenant ainsi le dernier témoin du spectacle à venir et de sa présence flamboyante…
installation immersive dans une caravane
durée 15 min
conception, réalisation Cécile Léna / collaboration artistique et construction Marc Valladon / création sonore et composition musicale Christophe Menassier / création lumière Jean-Pascal Pracht / électronique et programmation Gaël Jaton et Clément Bossut / avec les voix de Pablo Pinasco, Anne-Laurence Loubignac, Thibault de Montalembert, Christian Loustau / production Morgan Helou / diffusion Marthe Lemut / Or Not
production Léna d’Azy / coproduction Les Champs Libres, équipement culturel de Rennes Métropole, Bordeaux Métropole et l’Été Métropolitain, OARA – Office Artistique de la Région Nouvelle Aquitaine, Théâtre des Quatre Saisons – Scène conventionnée Musique(s) de Gradignan / projet soutenu dans le cadre de La Fabrique #2015 – Région Nouvelle-Aquitaine / avec le soutien financier du Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Nouvelle- Aquitaine, Ville de Bordeaux (Fonds d’aide à la création et de soutien à l’innovation / avec le soutien de Lettres du Monde et de l’Opéra national de Bordeaux / mécénat L’Eclat de verre – Bordeaux
Équipe artistique conventionnée par la DRAC Nouvelle-Aquitaine – Ministère de la culture. Léna d’Azy est subventionnée par le Conseil régional de la Nouvelle-Aquitaine et le Conseil départemental de la Gironde.
revue de presse
« La plus belle proposition de ces derniers jours prend le cirque pour sujet et non pour médium. Il s’agit en effet de « Columbia Circus » et « FreeTicket / KM0 » de la cie Léna d’Azy (Cécile Léna). Un genre de roman noir, une histoire fragmentée en points de vue et en épisodes discontinus qui laissent une grande liberté à l’imagination. Des décors reconstruits avec minutie à différentes échelles, où le regard du spectateur isolé se laisse guider par les éclairages précis, tandis qu’une voix dépose le texte dans son casque. Une merveille d’exigence plastique et sonore, pour un voyage poétique dans un univers délicieusement suranné. » Mathieu Dochtermann, I/O Gazette, 2019
Attention jauge très limitée