Une fille déballe son sac devant le public. Au sens propre comme au sens figuré. Une sorte d’inventaire à la Prévert qui commence toujours par « moi j’aime bien … ».
Dans ce sac, c’est toute sa vie qu’elle étale sous nos yeux. Et y a pas grand-chose. Mais le peu qu’il y a, c’est pas beau à voir.
Texte Philippe Dorin Jeu Catherine Pavet, Jean Huleu Lumières, régie Jean Huleu Costumes, accessoires Sabine Siegwalt
Le texte est publié aux Solitaires intempestifs
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Le spectacle sera précédé de « Dans la vie aussi, il y a des longueurs », une conférence de Philippe Dorin sur son travail d’auteur. Réflexions, anecdotes, lectures d’extraits seront suivies d’un petit cocktail poétique à la fin.